Alors que nous sortons de la saison de la peur et de l'isolement de Covid19 et dans la garantie abstraite de la «saison scolaire» (oui, je suis une femme adulte sans enfants qui pense toujours à septembre - juin comme école), nous expérimentons un peu d'un deuxième nouveau départ de l'année, marquant la transition de l'été à l'automne ici en Ontario, avant la fin de l'année.
Quel chapitre à lire alors, que tout cela est divinement calculé et soutenu par Celui qui a créé les Saisons au commencement. Les choses VONT changer, que cela nous plaise ou non. Pas sur notre chronologie, mais sur la sienne.
Ma vie m'a donné l'impression d'être coincée dans une ornière ces derniers temps, une bonne ornière - une ornière dont je suis reconnaissant, mais une ornière néanmoins. Lorsque le changement était constant pour moi de l'âge de 0 à 24 ans, la fin de la vingtaine, le « se poser » me semble étranger et importun.
Comme c'est réconfortant de savoir pour les gens excentriques et obsédés par le changement comme mon mari et moi - qui semblent prospérer sur le changement - qu'il y a un temps pour tout.
Ce n'est pas pour toujours.
Nous ne sommes pas éternels. Mais il est. --- Il y a un temps pour tout, et un temps pour chaque chose sous le ciel : un temps pour naître, et un temps pour mourir ; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui est planté ; un temps pour tuer et un temps pour guérir ; un temps pour décomposer et un temps pour construire ; un temps pour pleurer et un temps pour rire ; Un temps pour pleurer, et un temps pour danser; un temps pour jeter des pierres, et un temps pour ramasser des pierres; un temps pour embrasser, et un temps pour s'abstenir d'embrasser ; un temps à chercher et un temps à perdre ; un temps pour garder et un temps pour rejeter; un temps pour déchirer, et un temps pour coudre ; un temps pour se taire et un temps pour parler ; un temps pour aimer et un temps pour haïr ; Un temps pour la guerre et un temps pour la paix. Ecclésiaste 3:1-8 | ESV
